Véro N’Avait D’Yeux Que Pour Leila.

L’envie de Karen de faire un gang bang me tentait. Un soir, en rentrant du travail, je passais au magasin de Véro, sachant que Karen avait son jour de congé ce mercredi.

Véro ferma sa boutique et nous avons été dans la chambre derrière le magasin. Nous avons pris un verre à son bar et elle me demanda si j’avais réalisé le fantasme de Karen. Je lui répondis que oui et elle me demanda de lui raconter. Après lui avoir expliquer notre soirée dans les moindre détails, je lui dit qu’elle avait envie d’une baise à six. Véro me dit qu’il n’y avait pas de problème et que nous pourrions faire ça chez elle. Elle me dit aussi qu’elle avait une petite idée sur la copine de Karen. « C’est une noire, une fille superbe. Elle a 30 ans, des jambes et un corps magnifique. En plus elle a une poitrine de rêve. Tu verras, elle baise comme une chienne. Je sens que l’on va passer un super soirée ».

Le lendemain, je téléphonais à mes amis qui acceptèrent immédiatement. J’appelais Karen pour lui dire que tout était organisé et qu’elle n’avait plus qu’à venir chez Véro avec sa copine vendredi soir à 20h.

A l’heure prévue, nous sommes arrivés avec mes deux amis chez Véro. Je lui présentai Laurent et Jean-Bernard. Elle était encore seule. Pour la circonstance, elle avait revêtu un déshabillé noir, légèrement transparent et elle ne portait rien dessous à part des bas de soie noir également. Nous sommes allés au salon. 10 minutes plus tard, Karen est arrivée avec son amie. Une femme resplendissante qu’elle nous présenta. Elle se prénommait Leila. Elle était vêtue d’une robe légère qui finissait largement au-dessus des genoux. Karen c’était habillé comme une pute. Hauts talons, bas résille rouge, une cuissarde en cuir et un top.

Une fois que chacun fût assis, Véro nous servit un verre. Leila était assise à ma gauche et Véro à coté d’elle. Véro n’avait d’yeux que pour Leila. Elle passa son bras autour du cou de Leila et elle l’embrassa.

Elle glissa sa main sous sa robe et se mit à lui caresser sa chatte. Karen regardait la scène, assise entre mes deux amis. Elle posa ses mains sur la bosse que faisait leur queue sous leur pantalon, puis rapidement ouvrit les fermetures éclairs pour dégager leur verge.

J’avais aussi envie de participer. Je me suis levé et je me mis à genoux entre les jambes de Véro. Je posais alors ma bouche sur sa vulve. Sous l’excitation des caresses qu’elle offrait à Leila, elle était déjà moite. Sa fente était chaude. Je me délectais à passer ma langue entre ses lèvres et à venir sucer son clitoris. Leila ouvrit le déshabillé de Véro et entreprit de lui sucer les tétons. Elle écarta ses jambes, m’invitant à venir déguster sa chatte. Je ne me fis pas prier, et ma bouche vint savourer cette fente chaude et humide offerte à ma convoitise.

Pendant ce temps, Karen déshabilla mes deux amis qui lui retirèrent son top et ses cuissardes. Elle vint s’asseoir sur Laurent, s’empalant d’un coup sur sa queue. Véro et Leila se levèrent. Véro retira la robe de Leila et elle enleva le déshabillé de Véro. Jean-Bernard prit Véro par la main, s’allongea sur le tapis et Véro s’empala sur lui. Moi, je mis Leila à quatre pattes sur le canapé et je l’enculais d’une seule poussée. Pendant que je sodomisais Leila, Jean-Bernard labourait Véro sur le tapis et Karen s’empalait de plus en plus vite le long du manche de Laurent. Véro demandait à Jean-Bernard de la baiser plus fort, Karen hurlait : « C’est bon je mouille, ma chatte est brûlante ». Leila me suppliait d’aller plus fort et plus profond dans son cul.

Véro se mit à nous crier : « J’en veux encore ». J’abandonnais Leila et je suis venu la prendre par derrière. Laurent retira Karen et vint enfiler sa queue dans la bouche de Véro. Nous la prenions tous les trois. Elle s’activait à sucer Laurent pendant que Jean-Bernard et moi lui enfoncions nos bites bien profond en elle. Leila alla chercher Karen et, allongées près de nous elles se firent un 69. Laurent se vida au fond de la gorge de Véro. A mon tour je me répandis dans son cul et Jean-Bernard au fond de sa chatte. Nous entendions Karen et Leila qui se suçaient goulûment, puis les deux femmes poussèrent un long râle et jouir en même temps.

Nous avons repris nos places sur les canapés et reprit un verre. La soirée s’annonçait merveilleuse.